Madelyne LaFemelleMilicienneSujet Une aiguille pour plus d'allure [FEAT AdĂ©laĂŻde Grisregard] Lun 25 Mar 2019 - 205 Une aiguille pour plus d'allureMadelyne feat AdĂ©laĂŻde GrisregardCela fait plusieurs jours maintenant que jâai Ă©tĂ© envoyĂ©e au temple pour recevoir des soins et ĂȘtre suivie pour mes Ă©carts. A prĂ©sent que je peux de nouveau marcher sans douleur intolĂ©rable suite Ă la flagellation et que par consĂ©quent, je dois quitter le temple - et y retourner une fois par jour pour poursuivre les soins et mâentretenir avec les prĂȘtres pour les priĂšres et confessions â Je dois chercher un nouvel endroit oĂč dormir puisque rĂ©sider dans les dortoirs nâest pas trĂšs judicieuse comme me lâa fait remarquer la sergente dâAlgrange, jâai donc dĂ©cidĂ© dâaller passer mes nuits dans une auberge et câest naturellement que je me suis dirigĂ©e vers la Chope SucrĂ©e qui se situe non loin de la caserne. AprĂšs un rapide entretien avec la gĂ©rante prĂ©nommĂ©e Estelle de Chantauvent â une jolie rousse souriante de petite taille et aux habits plutĂŽt Ă©lĂ©gants - nous sommes parvenues Ă lâaccord que je pourrais avoir une chambre contre quelques services comme la cuisine, la plonge, le mĂ©nage ou encore sĂ©curiser lâĂ©tablissement lors dâĂ©vĂ©nements. Ce soir il y a du monde et il ne reste plus de tables disponible. Alors que je suis assise Ă lâune dâelle aprĂšs avoir fini mes tĂąches et que je bois un bochet pour reprendre quelque peu des forces, jâentends un soĂ»lard en train dâennuyer une jeune fille. Pour le coup, câest moi qui suis ennuyĂ©e⊠je nâai pas envie de mâattirer des ennuis ni de me mĂȘler de ce qui ne me regarde pas, jâai assez mal comme ça et le dernier truc dont jâai envie, câest dâaller chercher la bagarre. Mais dâun autre cĂŽtĂ©, je ne me vois pas le laisser continuer de harceler cette personne. Je suis quand mĂȘme milicienne et je suis en devoir de faire respecter un minimum lâordre⊠Mazette. Je sais dĂ©jĂ comment cela va finir ; je vais me lever, aller intimer Ă lâhomme de laisser la fille tranquille. Il va me demander de quoi je me mĂȘle, puis je vais dire que je suis de la milice. Et il va me rire au nez, parce que⊠je suis une fille et ça va mal finir parce que je serai intervenue. Câest Ă peu prĂšs le tableau que je peux dĂ©jĂ brosser. Nenni. Je dois tenter une autre approche. Il se dit que nous les filles, nous sommes rusĂ©es⊠MĂšre me disait toujours que câest notre meilleur arme. Il serait temps un jour que jâapprenne Ă lâĂȘtre pour me sortir de tous ces mauvais pas que jâenchaĂźne et qui mâattirent de sacrĂ©s ennuis. Jâobserve donc tranquillement la scĂšne de ma table pour comprendre ce quâil se passe et je rĂ©flĂ©chis. Il semblerait que lâhomme se plaigne que la fille a pris sa table ou quâil Ă©tait lĂ avant et quâil lui la rĂ©clame. Je finis mon Bochet dâune traite et je me lĂšve en repoussant ma chaise pour venir en aide Ă cette derniĂšre. Je mâassoie Ă sa table en ignorant lâhomme. Salutations ! je lâaborde. Quelle bon vent tâamĂšne ? »Elle nâa pas le temps de me rĂ©pondre que lâivrogne sâen prend Ă moi. Oéé ! JâĂ©tais en train dâlui dire de dĂ©gager ! »Je le regarde en conservant mon calme, puisque je veux Ă©viter que la situation nâempire. Il y a une table qui vient de se libĂ©rer lĂ -bas, lâami, je lui explique en indiquant la table que je viens de quitter. Vous pouvez-y aller avant quâelle ne soit prise. »Il grogne et sây rend avant quâelle ne soit prise. Ouais, câest ça ! Va râmettre des robes espĂšce de gourgandine et laisse les pantalons aux hommes ! Et pis târessembles Ă rien, tânages dedans comme dâla poiscaille tellement quâcâest trop grand ! Y engagent vraiment nâimporte quoi dans la milice, quâmoi jâvous dis ! » - Je vous remercie pour le conseil, passez une bonne journĂ©e », je rĂ©ponds de rien, câest une petite victoire. Jâai rĂ©ussi Ă rĂ©gler la situation sans haussement de ton, sans menaces, sans violence. Il va falloir que je continue sur cette lancĂ©e. Pour en revenir Ă mes vĂȘtements, sâil est vrai quâils sont trop grands, certes, câest que je ne suis pas vraiment taillĂ©e comme un sanglier et il faut bien avouer que ces vĂȘtements sâemmanchent assez mal sur ma silhouette toute frĂȘle⊠Mais je suis assez grande et de fait, ça limite un peu le dĂ©passement et je ne marche pas dessus si je fais attention. Cela dit, ils sont assez larges et les manches dĂ©passent aussi un peu de mes mains. Mais bon, regarde la jeune fille qui doit avoir mon Ăąge Ă peu prĂšs. Moi câest Madelyne, je me prĂ©sente en lui tendant la main. Alors, tu viens faire quoi par ici ? » Adelaide GrisregardCouturiĂšreSujet Re Une aiguille pour plus d'allure [FEAT AdĂ©laĂŻde Grisregard] Lun 25 Mar 2019 - 1402 Adelaide avait besoin de changer d'air. Elle avait beau se balader dans le quartier de la hanse afin de trouver l'inspiration, ces derniers temps rien ne venait. Cela la frustrait car du coup la jeune femme avait des envie de dessins et de crĂ©ation mais son esprit lui faisait barrage. Pour remĂ©dier Ă cela AdĂ©laide dĂ©cida d'aller un peu plus loin que dans ses habitudes. Elle attendit donc un mercredi soir, un de ses jours de congĂ©s pour aller dans un quartier un peu diffĂ©rent. En effet, elle opta pour le quartier de la milice. Elle en avait dĂ©jĂ entendu parler notamment par son pĂšre Ascelin, mais n'y avait jamais mis les pieds. DĂ©jĂ , car elle avait peu de temps pour elle dĂ©sormais. Son travail Ă la boutique et ses commandes pour la comtesse lui bouffaient beaucoup de son Ă©nergie. Mais Ă©galement car ses parents lui avaient toujours suggĂ©rer d'Ă©viter ce quartier. Pour une fois, AdĂ©laide laissa son cĂŽtĂ© sage Ă la maison et donna plus de libertĂ© Ă son aspect casse coup. Ainsi, ses pas la menĂšrent dans le quartier de la milice donc plus exactement sur la place des pendus. Quel drĂŽle de nom pour un lieu de convivialitĂ© pensa la jeune fille. Toutefois, elle traversa la place jusqu'Ă un Ă©tablissement La Chope entra elle fut d'abord en phase d'observation. Il y avait une grande salle composĂ©e de plusieurs tables. Au fond de celle ci se trouvait un escalier qui menait vers un pallier un peu plus intime pour les clients qui souhaitent se retrouver seuls ou sans regards inopportuns. Niveau dĂ©coration, l'Ă©choppe n'avait rien Ă se reprocher. On trouvait des tapis au sol, des tableaux accrochĂ©s et mĂȘme des bouquets de fleurs sur les tables. AdĂ©laide Ă©tait ravie de ce qu'elle voyait en premier lieu. Elle resta quelques instants immobiles pour graver l'image dans sa tĂȘte. AprĂšs quelques instants, la jeune fille dĂ©cide d'aller s'asseoir Ă une table. Alors qu'elle attend que la patronne vienne prendre sa commande, un homme d'une carrure assez imposante s'approche d'AdĂ©laide. Pour ne pas aider, il est ivre et donc potentiellement plus dangereux qu'en tant normal. La jeune fille qui est frĂȘle et maigrichonne ne ferait pas le poids face Ă un balourd pareille. Elle n'a donc pas envie d'une altercation. Elle dĂ©cide de faire mine qu'elle ne l'a pas vu. Pourtant c'est bien vers elle qu'il se dirige. Une fois Ă sa porter, d'une voix grave et sur un ton malpoli, il lui rĂ©plique -Eh toi, t'es Ă ma place, Place Ă©tait libre quand je suis arrivĂ©e et rien n'indiquait que la table Ă©tait ĂȘtre mais c'est ma place, donc dĂ©gage, je le besoin d'ĂȘtre malpoli. Dit Adelaide sur un ton jeune fille commençait Ă sentir la colĂšre lui monter au nez, mais elle se força de rester calme. Heureusement pour elle, au bout d'un certain temps, une dame vint Ă sa rescousse. Il s'agissait d'une milicienne vu son uniforme. AdĂ©laide savait que des femmes Ă©taient en poste, mais elle n'avait encore jamais eu l'occasion d'en rencontrer. Alors que la milicienne salut la jeune femme et lui demande ce qui l'amĂšne ici, l'ivrogne s'en prend soudainement Ă elle. Mais l'inconnue garde son calme avec brio et fait comprendre au balourd qu'il peut aller Ă la table qu'elle vient de dĂ©laisser. L'homme s'en va tout en l'insultant, se moquant de ses habits trop grands. L'inconnue se prĂ©sente sous le nom de Madelyne, en lui tendant la main. Puis elle demande Ă AdĂ©laide ce qu'elle vient faire ici. Ce Ă quoi la jeune fille rĂ©pond Merci pour ton aide Madelyne. Je m'appelle AdĂ©laide. Je suis venue chercher repos et inspiration Ă la base. Et toi tu es en service ? Madelyne LaFemelleMilicienneSujet Re Une aiguille pour plus d'allure [FEAT AdĂ©laĂŻde Grisregard] Lun 25 Mar 2019 - 1807 Une aiguille pour plus d'allureMadelyne feat AdĂ©laĂŻde GrisregardLa jeune fille qui semble tendue par le conflit auquel je viens de mettre fin me remercie et mâinforme sâappeler AdĂ©laĂŻde et quâelle est venue se reposer et trouver lâinspiration. Puis elle me demande si je suis en service. Pas vraiment, je lui rĂ©ponds. Jâai fait mes heures, bien quâen soit, je dois me montrer disponible Ă nâimporte quel moment. Un peu comme pour ce quâil vient de se passer. »Je souris doucement, mais mon sourire me paraĂźt crispĂ©, comme si les muscles de mon visage se livraient Ă un refus total dâobtempĂ©rer. Elle risque de me trouver singuliĂšre, dĂ©sagrĂ©able peut-ĂȘtre mĂȘme, pourtant ce nâest pas ce que je veux laisser paraĂźtre. Non loin des braillards quittent lâĂ©tablissement joyeusement aprĂšs avoir rĂ©glĂ© leur ardoise, continuant de chanter et chahuter en sâĂ©loignant Ă lâextĂ©rieur vers leur prochaine destination. VoilĂ qui doit bien contraster avec mon Ă©tat. Mais on peut dire que jâai attaquĂ© le deuxiĂšme service, dâune certaine maniĂšre. Je fais quelques bricoles dans lâauberge en Ă©change dâune chambre. Dormir dans les dortoirs de la milice, câest pas Ă©vident sur le long terme... Je prends une courte pause pour me reposer lĂ , avant de retourner Ă la plonge. Je ne devrais pas car il y a du monde ce soir, mais je ne tiens pas longtemps en ce moment, alors je fais plus de pauses que nĂ©cessaire⊠enfin, passons. » Je me rembrunis en laissant un instant mon regard errer sur la table. Tu cherches lâinspiration pour quoi, sinon ? » je lui demande, toujours en train de fixer un point au devant sans y fixer rĂ©ellement mon salle semble se vider un peu, ce qui nâest pas plus mal. Cela me permet de me reposer encore un petit moment avant dâaller laver les couverts qui sâentassent probablement assez vite. Je suis fourbue⊠Lâambiance sonore se calme, ce qui est Ă©galement agrĂ©able. Jâai toujours eu horreur de lâagitation, plus encore Ă©tant donnĂ© mon Ă©tat. Jâai du mal Ă trouver la force ne serait-ce que de marcher et jâaurais bien besoin de calme et de repos. Si seulement je pouvais me le permettre⊠mais non, je ne peux pas. Je ne peux mĂȘme pas aller chez moi, je nâai jamais le temps et je nâai toujours pas eu lâoccasion de revoir mes sĆursâŠ. Jâaurais dĂ», mais je nâai pas pu. JâespĂšre le pouvoir avant la prochaine lunaison⊠Si je ne fais plus de faux pas. DerniĂšre Ă©dition par Madelyne LaFemelle le Mar 26 Mar 2019 - 859, Ă©ditĂ© 2 fois Adelaide GrisregardCouturiĂšreSujet Re Une aiguille pour plus d'allure [FEAT AdĂ©laĂŻde Grisregard] Lun 25 Mar 2019 - 2210 Quand AdĂ©laide demande Ă la milicienne si elle est en service, cette derniĂšre lui rĂ©pond pas vraiment ». Ainsi, elle est censĂ©e avoir terminĂ©e sa journĂ©e. La jeune femme est donc reconnaissante envers son interlocutrice d'avoir quand mĂȘme rĂ©agi. En effet, la demoiselle aurait bien eu du mal Ă se dĂ©barraser de l'homme ivre toute seule. Avec son corps fragile et sa jeunesse, on la prenait rarement au sĂ©rieux. Quand Ă se battre, AdĂ©laide avait bien sĂ»r une dague sur elle au cas oĂč, mais ce n'Ă©tait pas pour autant qu'elle savait rĂ©ellement s'en servir. Elle prit une profonde inspiration de soulagement avant de rĂ©torquer d'une voix bien je te remercie d'avoir prolongĂ© ton service. Je ne sais pas comment j'aurais fait pour me dĂ©barrasser de ce genre d'Ă©nergumĂšne. Je ne suis pas vraiment une habituĂ©e des jeune femme avait apportĂ© cette prĂ©cision, toutefois si Madelyne Ă©tait un tant soit peu observatrice, elle l'aura devinĂ© sans grande difficultĂ©... Puis la milicienne lui sourit mais de maniĂšre assez crispĂ©e. Elle semblait tendue et AdĂ©laide ne savait pas trop pourquoi. S'ensuivit donc un moment de silence. La jeune grisregard en profita pour observer son environnement. Ainsi, des clients forts bruyants mais surtout alcoolisĂ©s, sortent de la chope aprĂšs avoir rĂ©glĂ© leur note. AdĂ©laide n'en fut que soulagĂ©e. Un peu de calme ne pourrait pas leur faire du mal Ă toutes les deux. La militaire sembla d'accord avec elle car elle se dĂ©tendit lĂ©gĂšrement avant de reprendre la parole. Madelyne se confia lĂ©gĂšrement Ă la jeune femme en lui indiquant qu'elle dormais dĂ©sormais Ă la Chope SucrĂ©e », ayant dĂ©sertĂ© temporairement la caserne pour le couchage. AdĂ©laide ne pouvait qu'imaginer combien cela devait ĂȘtre dure pour une femme d'ĂȘtre milicienne et de faire respecter la loi. Personnellement, mĂȘme si elle en avait eu la carrure, la fille du peuple n'aurait jamais pu exercer la fonction. Il fallait du courage, ca elle en avait, mais Ă©galement de la force physique et du caractĂšre. Or sa maladie l'avait longtemps affaiblie... Aussi, elle rĂ©pondit avec une pointe de compassion dans la n'ai pas l'habitude de cĂŽtoyer la milice, mais j'imagine que ce doit ĂȘtre un milieu assez macho non ? Comment cela se passe pour vous ?Puis la femme prĂ©cisa Ă Adelaide qu'elle servait lâĂ©choppe et faisait la plonge afin de payer sa chambre en nature. C'Ă©tait courageux de sa part de faire cela aprĂšs une journĂ©e de patrouille. Madelyne indiqua aussi Ă la jeune fille qu'elle devrait reprendre le travail mais que ces derniers temps elle Ă©tait plus fatiguĂ©e qu'Ă l'accoutumĂ©e. Adelaide le devina aisĂ©ment rien qu'en regardant son visage qui Ă©tait marquĂ© par des traits tirĂ©s. C'est donc avec douceur et sa franchise habituelle qu'elle lui rĂ©pondit - Eh bien, tu es bien courageuse. Cela doit pas Ă©vident d'enchaĂźner les deux. Mais si tu es fatiguĂ©e il faut Ă©couter ton corps. Surtout que les clients ici ne sont pas trĂšs commode. N'as tu pas moyen de t'arranger avec la patronne. D'ailleurs, je n'ai toujours pas commandĂ© mon joignit le geste Ă la parole en hĂ©lant la patronne afin de donner sa commande. Puis elle attendit d'ĂȘtre servie avant de remercier pour le service. Puis Madelyne sembla vouloir changer de sujet et lui demanda pour quelle raison elle cherchait l'inspiration. AdĂ©laide rĂ©flĂ©chit en silence quelques instants avant de rĂ©torquer. - Eh bien, c'est difficile Ă dĂ©finir. Mais principalement pour le dessin et la couture. Mais deux passions les plus grandes. Je suis par ailleurs apprentie couturiĂšre dans la boutique de Madame de Beauval dans la Hanse. Et couturiĂšre attitrĂ©e pour la comtesse de Valis. Les connaissez vous ? Demanda la jeune fille curieuse. Madelyne LaFemelleMilicienneSujet Re Une aiguille pour plus d'allure [FEAT AdĂ©laĂŻde Grisregard] Mar 26 Mar 2019 - 1048 Une aiguille pour plus d'allureMadelyne feat AdĂ©laĂŻde GrisregardAdĂ©laĂŻde me remercie une seconde fois en apprenant que je suis venue lui porter mon aide alors que je ne suis plus sur mon temps officiel »de service. Elle a lâair perdue et me dit de ne pas connaĂźtre les lieux. Ătrange de venir chercher le repos dans un lieu inconnu, et surtout dans une auberge au milieu de tous ces hommes emplis dâivresse qui se rĂ©vĂšlent bien souvent ingĂ©rables. Mais nous sommes tous Ă©tranges, au fond, et incomprĂ©hensibles sur bien des choses. Elle mâannonce Ă©galement ne pas cĂŽtoyer la milice mais que ce doit ĂȘtre un milieu compliquĂ© pour une fille et sâenquiert de comment je mâen sors. Elle dit me trouver courageuse dâenchaĂźner les tĂąches Ă lâauberge Ă la fin de la journĂ©e mais que je devrais me mĂ©nager, puis elle commande un verre avant de me rĂ©pondre quâelle cherche lâinspiration pour le dessin et la couture. La douceur et la sensibilitĂ© quâelle exprime sont tellement rare dans ce monde de brutes que je suis admirative en me demandant comment elle fait pour les conserver. Ne me remercie pas, je ne fais que mon travail, je lui rĂ©ponds dans une nouvelle tentative de sourire peu fructueuse. Il est aussi dur de trouver ma place Ă la milice que de me faire respecter lorsque je suis sur le terrain, mais je commence Ă arriver Ă trouver des parades pour la jouer fine afin de pouvoir exĂ©cuter plus facilement mes fonctions. Quant Ă un arrangement avec la patronne, câest dĂ©jĂ le cas. Je ne paie pas ma chambre en Ă©change de mes services. Je nâai pas de gros moyens, et je souhaite Ă©conomiser cet argent pour le remettre Ă mes sĆurs quand je pourrai aller les voir⊠elles en auront plus besoin que moi. »Et maintenant que je parle dâelles, je ressens Ă nouveau un profond vide. Si seulement je pouvais ĂȘtre avec elles. Plus le temps passe et plus lâinquiĂ©tude me ronge. La santĂ© de BĂ©thanie est prĂ©caire depuis longtemps maintenant, et je ne sais pas dans quel Ă©tat je la retrouverai en rentrant. Aucun guĂ©risseur nâa Ă©tĂ© capable de la soigner. Ma toute petite sĆur si courageuse qui se bat jour aprĂšs jour contre la maladie ! Mais je devrais dĂ©jĂ commencer par penser Ă moi et Ă comment arranger ma situation dĂ©licate. Je change de sujet en lui rĂ©pondant que je ne connaissais ni lâune ni lâautre des deux personnes dont elle mâa parlĂ©. Ayant appris quâAdĂ©laĂŻde coud, je me dis quâelle pourrait peut-ĂȘtre faire quelque chose pour mâaider Ă avoir un peu plus dâallure et dĂ©jĂ faire en sorte que je puisse bĂ©nĂ©ficier dâun peu plus de sĂ©rieux et de respect. Lorsquâon lui porte son verre, je fais signe que je vais me remettre au travail. Tu crois que tu pourrais rĂ©ajuster ma tenue ? je lui demande. La rendre un peu moins large⊠il est vrai que je flotte dedans et que ça dĂ©passe de tous les cĂŽtĂ©s. Jâai lâair tellement gauche et pitoyable lĂ -dedans⊠»JâĂ©mets un petit rire fatiguĂ© et je grimace. Les muscles de mon dos me font mal Ă chaque fois que je les sollicite, que ce soit en me dĂ©plaçant, bougeant ou encore en riant, toussant ou Ă©ternuant. Chaque mouvement est un enfer et je dois rester le plus immobile possible pour me prĂ©server de la douleur. Adelaide GrisregardCouturiĂšreSujet Re Une aiguille pour plus d'allure [FEAT AdĂ©laĂŻde Grisregard] Mar 26 Mar 2019 - 1816 Madelyne semble surprise par les propos de la jeune couturiĂšre quant Ă sa raison de sa prĂ©sence en un tel lieu. Toutefois elle ne fait aucune rĂ©ponse dĂ©sobligeante et sourit d'une drĂŽle de maniĂšre avant de rĂ©pondre Ă nouveau Ă la demoiselle. Ainsi, la milicienne reconnaĂźt Ă avoir des difficultĂ© liĂ©es Ă la fois Ă sa condition Ă la caserne que parfois aux diffĂ©rentes situations sur le terrain. AdĂ©laide ne peut qu'imaginer les scĂšnes auxquelles l'inconnue doit faire face tout au long de ses journĂ©es de travail. Si Madelyne rencontre des individus comme le mec qu'elle a fait partir un peu plus tĂŽt, alors Adelaide la plaint fortement. Aussi, la jeune femme fait une remarque compatissante Ă son bien, tu es courageuse. Si ils sont tous comme l'autre- Dit elle en dĂ©signant le client en question de son regard- tu n'as pas fini d'ĂȘtre emmerdĂ©e. Mais rassure moi tu ne patrouilles pas seule quand mĂȘme ? Demande t'elle soudain inquiĂšte pour la jeune femme de son Madelyne continua d'expliquer Ă AdĂ©laide qu'elle arrivait de mieux en mieux Ă trouver des solutions pour mener Ă bien son travail sans trop en pĂątir. C'Ă©tait une bonne nouvelle cela. En effet, la couturiĂšre n'Ă©tait pas dupe, et malgrĂ© ses vĂȘtements trop grand, la milicienne paraissait trĂšs mal en point et las de fatigue. Cette derniĂšre confirma aussi la demoiselle qu'elle avait dĂ©jĂ un arrangement avec la patronne. En Ă©change de quelques tĂąches le soir, elle avait le gĂźte et le couvert. C'Ă©tait ma foi un arrangement dĂ©jĂ pas mal si cela pouvait permettre la femme de ne pas dormir Ă la caserne avec tous ces hommes machistes. A cela, la milicienne fit rĂ©fĂ©rence Ă ses sĆurs Ă qui elle rĂ©servait l'argent qu'elle mettait de cĂŽtĂ© grĂące Ă son activitĂ© supplĂ©mentaire. La jeune Grisregard, se demandait oĂč se trouvait ces derniĂšres. Toutefois elle nâinterrompit pas la femme. Ainsi, Adelaide attendit donc qu'elle est fini de tout lui dire avant de rĂ©pliquer Ă son tour bien tant mieux si l'arrangement avec la patronne te convient. Mais fait attention Ă toi. Je te connais depuis peu, mais Ă premiĂšre vue, tu as l'air Ă©puisĂ©e. Puis je te demander oĂč sont tes sĆurs ? Sans indiscrĂ©tion bien sĂ»r. J'ai moi mĂȘme des petits frĂšres et une petite sĆur, donc je sais ce que c'est. C'est pas toujours Ă©vident. Dit elle avec un ton soudain un peu AdĂ©laide finit tout de mĂȘme par prendre sa commande, Madelyne fait un signe Ă la patronne comme si elle allait bientĂŽt finir sa pause. Toutefois, la couturiĂšre ne releva pas et Ă©couta la suite. Ainsi, la milicienne avait besoin de ses talents en couture. Elle souhaitait rĂ©ajuster ses habits Ă son corps. AdĂ©laide la dĂ©tailla du regard et ne pu qu'ĂȘtre d'accord avec elle ? Il Ă©tait urgent de faire quelque chose. Tant d'un point de vue physique car elle serait mieux pour faire son travail que psychologique. En effet la couturiĂšre serait ravie de lui rendre la beautĂ© qu'elle mĂ©ritait et de permettre ainsi Ă la milicienne de se faire respecter un peu mieux par ses pairs. -Disons que ta tenue flotte effectivement un peu. Mais je vais pouvoir t'arranger cela. Je pense que c'est dans mes cordes. Par contre, comment souhaites tu t'organiser ?En effet, Adelaide aiderait la jeune femme avec plaisir, mais il fallait qu'elle puisse s'organiser. On ne pouvait pas dire que son emploi du temps lui laissait beaucoup de latitude... Madelyne LaFemelleMilicienneSujet Re Une aiguille pour plus d'allure [FEAT AdĂ©laĂŻde Grisregard] Mar 26 Mar 2019 - 2359 Une aiguille pour plus d'allureMadelyne feat AdĂ©laĂŻde GrisregardAdĂ©laĂŻde mâa dit Ă nouveau que je suis courageuse sâil sont tous comme le soĂ»lard de tout Ă lâheure quâelle me dĂ©signe, puis elle sâinquiĂšte de savoir si je patrouille seule. Je lui explique que non, que les patrouilles se font Ă deux au minimum. Elle dit ensuite me trouver Ă©puisĂ©e, puis me questionne sur mes sĆurs, me disant avoir elle mĂȘme un frĂšre et une petite sĆur dâun air assez sombre. Jâai lâimpression quâelle aussi Ă©prouve une certaine tristesse vis-Ă -vis de sa fratrie, mais je ne saurais dire pourquoi. Sa prĂ©occupation envers mon Ă©tat est touchante. Rares sont ceux qui sâinquiĂštent encore pour moi... Mes sĆurs sont dans les faubourgs, je lui explique. Je suis venue Ă Marbrume pour mâenrĂŽler dans la milice il y a un peu plus dâune lunaison. Je ne les ai pas revues depuis... ma petite sĆur est malade, alors je me demande souvent comment elle va. Peut-ĂȘtre nâaurais-je pas dĂ» faire cela⊠Je voulais demander quelques jours pour aller les voir, mais jâai eu un contretemps et, jâai pas pu... »Jâai la gorge nouĂ©e. Si je nâavais pas eu cette fichue sanction et si je nâavais pas dĂ» passer plusieurs jours au temple le temps de mâen remettre, jâaurais pu demander Ă aller voir mes sĆurs. Mais voilà ⊠La jeune femme accepte ma demande et me demande comment je veux mâorganiser. Eh bien⊠tu me dis ton prix, et je te donne les vĂȘtements. Tu nâauras quâĂ me les rapporter quand ce sera fait, ou bien tu peux repasser un soir et le faire ici, si tu prĂ©fĂšres. Ce serait mĂȘme sans doute plus simple. Combien de temps penses-tu que cela prendra ? Ce serait bien si cela pouvait ĂȘtre fait en une soirĂ©e, que je puisse avoir les vĂȘtement en journĂ©e pour mon service. »Entendant un bruit de vaisselle, je rajoute Je vais devoir te laisser, la plonge mâappelle... Je suis lĂ tous les soirs gĂ©nĂ©ralement, sauf lorsque je suis en mission. CâĂ©tait bien agrĂ©able dâavoir fait ta connaissance. » Adelaide GrisregardCouturiĂšreSujet Re Une aiguille pour plus d'allure [FEAT AdĂ©laĂŻde Grisregard] Mer 27 Mar 2019 - 2035 Quand AdĂ©laide posa des questions sur les sĆurs de la milicienne, cette derniĂšre ne s'en offusqua pas, bien au contraire. La jeune couturiĂšre fut touchĂ©e par la confiance que lui tĂ©moignait la femme. AprĂšs tout, elle ne se connaissait que depuis quelques instants. Pourtant elle dĂ©voila en toute sincĂ©ritĂ©. Madelyne avait apparemment laissĂ© ses sĆurs dans les faubourg. Elle Ă©tait venue Ă la ville de Marbrume spĂ©cialement pour la milice. Quelle drĂŽle de dĂ©cision se demanda AdĂ©laide. Pourquoi un tel choix ? Puis la femme avec un pointe de tristesse et de regret dans la voix prĂ©cisa que l'une de ses sĆurs Ă©tait malade et que depuis qu'elle Ă©tait arrivĂ©e en ville, elle n'avait malheureusement pas pu les revoir. A priori elle souhaitait prendre quelques jours de congĂ©s, mais un Ă©vĂ©nement avait perturbĂ© ses plans. AdĂ©laide en fut peinĂ©e et rĂ©pondit avec une pointe de comprends votre dĂ©sarroi. Ma mĂšre est gravement souffrante et j'ai moi mĂȘme dĂ» faire face Ă la maladie plusieurs fois. Ce n'est jamais simple. Mais pardonnez ma curiositĂ©, pourquoi venir spĂ©cialement pour la milice ? Pourquoi ne pas voir choisi un mĂ©tier plus simple ? En tout cas, je ne sais pas quel fut votre contre temps mais j'espĂšre que vous aurez l'occasion trĂšs vite de voir vos sĆurs. Rien de grave ce contre temps j'espĂšre ?Dit elle quand AdĂ©laide demande comment Madelyne veut s'organiser pour la retouche de son uniforme, cette derniĂšre semble avoir une idĂ©e en tĂȘte bien prĂ©cise. D'abord elle propose Ă la jeune couturiĂšre de prendre les vĂȘtements puis de venir les rapporter. Mais aprĂšs rĂ©flexion, elle change d'avis et propose Ă AdĂ©laide de venir quand elle le souhaite Ă la Chope SucrĂ©e pour faire la couture sur place. Ainsi, la milicienne se demande combien de temps la tĂąche va prendre toutefois elle aimerait bien que la jeune femme le fasse en une seule soirĂ©e afin de pouvoir une tenue Ă se mettre pour son prochain service. AdĂ©laide comprend la demande de son interlocutrice et fera en sorte de la satisfaire. Quant au prix, il faut qu'elle rĂ©flĂ©chisse. AprĂšs la jeune femme en face d'elle n'est pas riche. Autant voir si elle peut se faire payer par un service par exemple. Mais les questionnements de la jeune Grisregard furent interrompus. En effet, un bruit de vaisselle se fit soudain entendre. Comme l'Ă©cho d'un signal, Madelyne lui indiqua qu'elle allait de voir la laisser pour aller faire la plonge. Elle l'informa qu'elle Ă©tait prĂ©sente sur les lieux tous les soirs, sauf les jours de mission. Elle rajouta Ă©galement qu'elle avait Ă©tĂ© heureuse de faire sa connaissance. AdĂ©laide lui rĂ©pondit avec le bien, cela ne sera pas un soucis pour moi de venir en soirĂ©e ici et de rĂ©aliser les ajustements en une fois. Cela m'arrange aussi, car je dois avancer ma commande pour la comtesse de Valis. Eh bien, si le devoir t'appelle, je pense que je vais me rentrer chez moi. Je reviendrais demain soir si cela te convient. Cela fut un trĂšs grand plaisir Madelyne. Pour les modalitĂ©s de ma prestation, on verra dĂ©tails demain. Bon finit son verre en buvant le peu qui restait d'un cul sec avant de s'Ă©loigner d'un pas lent vers la sortie de l'Ă©tablissement... Madelyne LaFemelleMilicienneSujet Re Une aiguille pour plus d'allure [FEAT AdĂ©laĂŻde Grisregard] Jeu 28 Mar 2019 - 1532 Une aiguille pour plus d'allureMadelyne feat AdĂ©laĂŻde GrisregardBeaucoup me demandent ce que je suis venue faire dans la milice, mais câest Ă peu que je rĂ©ponds rĂ©ellement. Que ce soit par peur de paraĂźtre ridicule ou par une difficultĂ© plus gĂ©nĂ©rale Ă mâouvrir sur ce sujet Ă©pineux. Mais la jeune fille en face de moi nâa visiblement pas lâair dâĂȘtre du genre Ă se moquer ou Ă juger. Peut-ĂȘtre que jâaurais pu mâouvrir enfin Ă quelquâun pour dĂ©voiler ce que jâavais sur le cĆur. Mais je nâavais pas le temps en cet instant de me perdre en explications fournies. Câest que je voulais me rendre utile et aider Ă rendre le monde meilleur⊠Combattre la fange et tout le reste. »Et quand elle me demande si le contretemps qui mâa empĂȘchĂ©e dâaller chez moi nâĂ©tait rien de grave, jâesquisse un lĂ©ger sourire du mieux possible. Qu'importe. Je te dis donc Ă demain soir, AdĂ©laĂŻde. »Je me lĂšve et marche lentement pour aller laver les couverts qui commencent Ă sâentasser. Lâauberge finie par se dĂ©semplir assez pour que je puisse sortir faire un tour rapide avant la fermeture. Dehors, je me rends directement sur le banc oĂč jâavais demandĂ© Ă Meikan de mâattendre au coucher du soleil. Je marche aussi vite que possible, mais la souffrance mâentrave douloureusement Ă chaque mouvement. ArrivĂ©e Ă lâendroit convenu pour nos retrouvailles autrefois, je me rends compte que Meikan nâest pas lĂ . Câest logique Ă vrai dire, la nuit est tombĂ©e depuis un moment. Je mâassieds un instant pour faire une pause et je regarde le ciel Ă©toilĂ©. Je soupire. JâespĂšre quâil va bien⊠il y a un peu de vent ce soir et il fait frais mais la tempĂ©rature est supportable. Je me souviens de ses hurlements lorsquâil criait mon nom. Oh, comme jâai peur quâil lui soit arrivĂ© quelque chose ! Je me lĂšve alors pour faire le tour du quartier. De temps Ă autre je lâappelle doucement pour ne pas me faire remarquer, mais il ne rĂ©pond pas. Je vais alors vers le cabanon qui menait au toit oĂč je lui avais donnĂ© le pain et les vĂȘtements. Meikan... ? Meikan ! » Nulle rĂ©ponse. Oh... jâespĂšre vraiment quâil va bien ! Jâessairai de repasser demain soir au coucher de lâastre du jour. Je rentre alors jusquâĂ lâauberge tristement et monte me coucher. Jâai toujours autant de mal Ă trouver une position confortable, mais je commence Ă mây lendemain soir, lorsque AdĂ©laĂŻde revient, je vais la saluer Ă sa table. Je me suis changĂ©e et jâai remis une robe. Ăa fait tellement longtemps que je nâen portais plus. Et ne plus avoir mon gambison sur moi, ce que ça fait du bien ! Je me sens libre et moins oppressĂ©e. Salutation ! Tu as passĂ© une bonne journĂ©e ? »Je lui tends ensuite les vĂȘtements que jâai pliĂ©. VoilĂ tout est lĂ . Si tu veux prendre mes mesures pour faire la bonne taille, on peut aller dans ma chambre. » Adelaide GrisregardCouturiĂšreSujet Re Une aiguille pour plus d'allure [FEAT AdĂ©laĂŻde Grisregard] Ven 29 Mar 2019 - 1833 Quand AdĂ©laide demanda Ă son interlocutrice ce qui a poussĂ© une femme comme elle Ă s'engager dans la milice cette derniĂšre rĂ©pond alors avec franchise. La jeune femme apprĂ©cie la confiance que sa nouvelle amie » a en elle. Ainsi donc, cette derniĂšre lui confie avoir voulu aider Ă combattre la fange. C'est fort courageux de sa part. Personnellement AdĂ©laide est toujours prĂȘte Ă proposer son aide, comme le lui a appris ses parents, toutefois elle n'aurait jamais eu le courage d'affronter les fangeux... La jeune couturiĂšre avait eu la chance de les croiser qu'une seule fois. Mais elle Ă©tait pas Ă l'abri pour autant. Toutefois croire en un monde meilleur, AdĂ©laide n'Ă©tait pas aussi optimiste que Madelyne. Elle lui rĂ©pondit donc es bien courageuse. Quant Ă rendre le monde meilleur, je ne suis pas sĂ»re que cela ne soit pas dĂ©jĂ trop tard malheureusement. Dit elle tel qu'elle voyait la la jeune femme lui demande si le contre temps qui l'a empĂȘchĂ© d'aller voir ses sĆurs n'Ă©tait pas trop grave, la milicienne change clairement de sujet. Pire encore elle s'en va alors travailler indiquant Ă la couturiĂšre que la conversation est terminĂ©e. AdĂ©laide comprend alors que le sujet est sensible pour la femme. Ainsi donc quand elle reviendra le lendemain il faudra qu'elle fasse attention Ă ne pas aborder le sujet. AprĂšs tout les deux jeunes femmes se connaissent depuis peu. AdĂ©laide elle mĂȘme n'aime pas faire confiance Ă des inconnus, elle ne peut donc pas tenir rigueur Ă Madelyne de garder quelques secrets. C'est en pensant Ă tout cela que la jeune femme rentre chez elle lendemain soir, comme convenu la jeune femme se prĂ©sente Ă l'Ă©tablissement. Lorsqu'elle arrive, Madelyne n'a pas encore pris son service. AdĂ©laide s'installe donc Ă une table et patiente. Toutefois, la jeune fille n'a pas longuement Ă attendre. En effet, la milicienne vient peu de temps aprĂšs la saluer, lui demander si elle a passĂ© une bonne journĂ©e. AdĂ©laide la toise du regard quelques instants avant de rĂ©pondre. La couturiĂšre ne peut s'empĂȘcher de constater une diffĂ©rence. Tout d'abord la demoiselle porte cette fois ci une robe, qui la met beaucoup plus en valeur. Mais c'est dans son attitude que la couturiĂšre sent un regain d'Ă©nergies, comme si Madelyne avait un point en moins sur le cĆur...-Bonjour Madelyne. Je te remercie. Tu es toute en beautĂ© ce la jeune femme lui tend son uniforme que AdĂ©laide prend sans broncher. Madelyne lui indique alors que si elle souhaite prendre ses mesures, elles peuvent aller dans sa chambre pour plus d'intimitĂ©. AdĂ©laide sourit Ă la milicienne avant de Eh bien si tu es disponible, oui je veux bien que nous allions dans ta chambre afin que je puisse m'attaquer au travail. Sinon tu seras obligĂ©e de me voir revenir. Dit elle en suit donc la milicienne jusque dans sa petite chambre. La couturiĂšre en pĂ©nĂ©trant de lieu ne peut que constater la petitesse de la piĂšce. Toutefois, pour dormir c'est bien largement suffisant. AprĂšs tout AdĂ©laide n'a jamais eu le grand luxe d'avoir sa propre chambre. AprĂšs avoir fait un rapide tour du propriĂ©taire, la jeune femme sort alors son carnet de note, sa mine pour Ă©crire ainsi que son mĂštre ruban pour prendre les mesures. Afin que ces derniĂšres soient le plus prĂ©cisent possible, la jeune femme aurait besoinn que Madelyne enlĂšve sa robe. Mais comment va t'elle le prendre? C'est donc sur un ton doux voir un peu timide que la jeune femme s'adresse Ă la J'aurais besoin que tu enlĂšve tout. Cela ne durera pas longtemps. Dit elle en se remĂ©morant la scĂšne avec la espĂ©rait que les choses cette fois ci se passeraient plus simplement. Madelyne LaFemelleMilicienneSujet Re Une aiguille pour plus d'allure [FEAT AdĂ©laĂŻde Grisregard] Sam 30 Mar 2019 - 1614 Une aiguille pour plus d'allureMadelyne feat AdĂ©laĂŻde GrisregardAdĂ©laĂŻde me dit que je suis de toute beautĂ© ce soir, faisant sans doute allusion au fait que je porte une robe et non plus ma tenue habituelle de la milice. Je la remercie un peu gĂȘnĂ©e et puis nous allons dans la chambre afin quâelle puisse prendre mes mensurations pour ajuster au mieux la largeur et la longueur de mes vĂȘtements. Quâelle nâest pas ma surprise de lâentendre dire que je dois tout enlever⊠A-t-elle vraiment besoin que je sois entiĂšrement nue pour faire cela ? Ne peut-elle pas prendre la mesure des jambes pour le pantalon par dessus mes braies, si je soulĂšve juste ma robe ? Et pour les bras et le reste ? Les manches et le reste de ma chainse ne sont pas si bouffantes quand mĂȘme⊠Je dois vraiment tout enlever... ? je lui demande mal assurĂ©e. Je prĂ©fĂ©rerais Ă©viter, si câest possible. »Outre le fait que je nâai pas vraiment envie de me dĂ©nuder par pudeur â mĂȘme si câest une fille en face de moi - je nâai pas vraiment envie quâelle voit mon dos. Les plaies sont toujours bien visibles et nâont mĂȘme pas cicatrisĂ©es encore. Jâai le dos couvert de flagellations plus ou moins fraĂźches⊠et je commence Ă regretter amĂšrement dâavoir demandĂ© Ă la jeune fille dâajuster ma tenue. Ăa mâapprendra dâavoir Ă©tĂ© si bĂȘte, ah, jâaurais dĂ» y penser ! JâhĂ©site Ă lui demander si elle ne peut pas repasser une autre fois alors, mais je rĂ©alise que câest stupide. Elle est venue spĂ©cialement pour ça, je ne peux pas la renvoyer... Je me sens un peu prise entre deux feux et comme si jâavais un couteau sous la gorge. Que va-t-elle penser de moi si elle voit ça⊠Que je suis une criminelle ? Que je suis insubordonnĂ©e ? Que je ne suis pas quelquâun de frĂ©quentable ? Que jâai dĂ» le mĂ©riter, peut-ĂȘtre mĂȘme⊠ce serait logique. Tout de mĂȘme, je ne pense pas quâelle me mĂ©priserait ou quâelle me jugerait de ce que jâai pu cerner dâelle depuis hier. A chaque fois que je lui disais quelque chose, elle avait lâair empreint de compassion. Mais Ă mon avis, elle serait choquĂ©e dans tous les cas et il ne vaut mieux pas quâelle voit mon dos. Les doigts de ma dextre repliĂ©s dans ceux de ma senestre, je la regarde penaude. Permission de ce forumVous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forum
Alorsquâelles sâapprĂȘtaient Ă donner la vie, une terrible Ă©preuve est venue bouleverser cet heureux Ă©vĂ©nement. Quand le pire vient cĂŽtoyer le meilleur, ils se sont
Accueil > Confiance en soi > Phobie des chiens quand le meilleur ami de lâhomme est son pire ennemi Bienvenue sur Penser et Agir ! Depuis 2012 nous accompagnons les actifs de plus de 30 ans qui veulent prendre leur revanche sur la vie en dĂ©veloppant un projet qui a du SENS. AprĂšs avoir accompagnĂ© plus de 2 500 clients, nous lançons une formation continue gratuite par e-mail Le club des Actionneurs. Entrez votre prĂ©nom et votre email sur la page suivante pour y accĂ©der Cliquez ici pour vous inscrire gratuitement dĂ©jĂ + de 17 000 inscrits ! Câest gratuit, et vous pourrez vous dĂ©sinscrire Ă tout moment. Dâaussi longtemps que lâon se souvienne, lâhomme et le chien ont toujours fait dâexcellents compagnons de vie. En effet, cĂąlin, affectueux et docile, un chien une fois quâil a liĂ© une relation avec son maĂźtre, lui restera Ă jamais fidĂšle quels que soient les circonstances, les Ă©preuves et les difficultĂ©s. De plus, dotĂ© dâune grande aptitude Ă comprendre les Ă©motions humaines, cet animal domestique saura parfaitement rĂ©pondre Ă toutes les attentes affectives. En bref, le chien est incontestablement le meilleur ami de lâhomme. Malheureusement, si beaucoup voient en leur boule de poil une source dâamour incondi
Tous les jours, Faustine Bollaert accueille dans Ăa commence aujourd'hui des hommes et des femmes qui Ă©voquent des Ă©vĂ©nements marquants de leur existence, pour permettre Ă d'autres d'avancer dans leur parcours, avec la prĂ©sence Ă©clairante de nos experts - avocat, psychiatre, psychologue, nutritionni
AprĂšs plusieurs mois de galĂšres, Big Ben est redevenu Bentegoal et vient dâinscire 8 buts lors des 6 derniĂšres rencontres de Premier League. Entretien Ă coeur ouvert. Ăa nâa pas toujours Ă©tĂ© facile pour toi cette saison. Oui, mentalement tu dois ĂȘtre fort. Ătre acteur et ĂȘtre privĂ© aussi longtemps de ce que tu as de plus cher, je parle dâun point de vue professionnel, câest compliquĂ© Ă vivre. Heureusement, jâai pu retourner en Belgique, ĂȘtre avec mes proches. Si jâavais Ă©tĂ© seul et que Villa mâavait obligĂ© Ă rester Ă Birmingham pendant ma rééducation, ça aurait Ă©tĂ© une tout autre histoire. Tu es fier de ton parcours jusquâici ? Oui. Je sais dâoĂč je viens. Ce petit bout de chemin que jâai rĂ©alisĂ© jusquâĂ prĂ©sent, je le dois Ă moi-mĂȘme. Je nâai pas Ă©tĂ© pistonnĂ©, on ne mâa pas mis sous les feux des projecteurs comme dâautres. Je viens de loin aussi car je nâai pas eu une carriĂšre classique. Un drĂŽle de parcours⊠Oui. Lâhistoire, on peut toujours la refaire. Si jâĂ©tais passĂ© par un centre de formation, que jâavais eu le temps, que je nâavais pas Ă©tĂ© surclassĂ© si jeune, je serais peut-ĂȘtre aujourdâhui un autre joueur. Meilleur ou moins bon. La rĂ©alitĂ©, câest que jâai sautĂ© les Ă©tapes plus vite que dâautres. Ăa explique pourquoi jâai trainĂ© des lacunes. JâĂ©tais pro Ă 16 ans, je me suis formĂ© avec des adultes. JâĂ©tais un jeune dans une vie dâadulte. Jâai eu cette chance de passer Ă la tĂ©lĂ© Ă 16 ans alors que dâautres du mĂȘme Ăąge galĂšrent. Mais je nâĂ©tais pas celui dont on Ă©tait persuadĂ© quâil allait trĂšs vite faire carriĂšre. Qui aurait prĂ©dit il y a quatre ans que jâallais mâimposer en Angleterre ? Personne. Câest ce qui explique cette fiertĂ© ? Je suis fier de tout ce que jâai connu, des moments difficiles Ă ceux plus heureux. Dans toute mauvaise chose, on peut retirer des expĂ©riences positives. Quand on mâa prĂȘtĂ© Ă Malines sans mon consentement lors du dernier jour du mercato, jâai compris que le foot nâĂ©tait plus un jeu mais un business. Pour parler vulgairement il ne fallait penser quâĂ sa gueule. Tu ne penses quâĂ ta gueule dĂ©sormais ? En quelque sorte. En tout cas, je ne me laisse plus influencer par les personnes extĂ©rieures. Si je dois prendre la meilleure dĂ©cision pour moi et ma famille, je le ferai. A Genk, on me rĂ©pĂ©tait que je nâavais pas le niveau pour lâAngleterre, que je nâĂ©tais pas prĂȘt. Au final, jâai eu raison de ne pas les Ă©couter. Il vaut toujours mieux faire un choix quâon assume entiĂšrement Ă 100 %. Tu kiffes ta vie en Angleterre ? Oui. Tu peux tirer 10 mĂštres Ă cĂŽtĂ©, on va tâapplaudir, mĂȘme chose pour un tacle ou un changement dâaile. Et pourtant, ma femme me dit que quand je marque, je ne semble pas profiter totalement du moment. Mais je suis pas quelquâun dâĂ©motionnel, je suis quelquâun de froid. Mais câest vrai, je devrais davantage vivre ces moments car la carriĂšre nâest pas Ă©ternelle. Tu te sens respectĂ© dans le foot anglais ? Oui. Je ne suis pas le seul dans ce cas mais parfois, il faut sâexiler pour ĂȘtre considĂ©rĂ©. Je pense que mon ratio but par match dans un club qui joue le maintien depuis trois ans est plutĂŽt pas mal. Et je sens que les dĂ©fenseurs me respectent, quâils me craignent. Tu te considĂšres comme un pur buteur ? Non. Pour moi, un pur buteur, il rĂŽde, il nâest prĂ©sent que dans les 16 mĂštres. Je pense ĂȘtre plus complet, je peux dĂ©vier, combiner, jouer dans les petits espaces, je sais jouer au foot sic. Je connais aussi ma tĂąche, je ne suis pas comme Kevin De Bruyne ou Eden Hazard qui sont capables de dribbler trois hommes. Je vais plutĂŽt me mettre dans les dispositions afin quâils puissent briller. En arrivant en Angleterre, tu disais devoir ĂȘtre plus tueur devant le but ». Câest le cas aujourdâhui ? Je dois devenir encore plus crevard, plus Ă©goĂŻste, devant le but. Ce nâest pas une critique mais le pire, câest Cristiano Ronaldo. Lui câest droit au but, câest un canonnier. Moi, je ne suis pas comme ça, mĂȘme si je pense avoir les qualitĂ©s pour le faire. Tu cogites de trop ? Si je rate un match, je vais essayer de trouver le pourquoi du comment. Ăa me trotte en tĂȘte. En Angleterre, ils ont cette culture de penser directement au match prochain, que tu aies gagnĂ© ou perdu. Et jâai appris avec le temps Ă laisser derriĂšre moi ce qui sâest passĂ©. NumĂ©ro 9, câest le poste le plus compliquĂ© dans une Ă©quipe ? Je pense bien. Câest ingrat et, en mĂȘme temps, ça peut ĂȘtre trĂšs gratifiant. Tu peux ĂȘtre pourri tout le match mais si tu marques Ă la fin, on ne retiendra que ça. Et lâinverse est vrai aussi. Lâan dernier, je nâai pas beaucoup marquĂ© mais jâĂ©tais meilleur que lors de ma premiĂšre saison en Angleterre oĂč jâai inscrit 17 buts. Tu ne souffres pas trop des charges physiques ? Tous les matches sont durs ici. Câest un combat perpĂ©tuel. Il y a des matches casse-pipe mais dâautres oĂč ça passe. Mon corps tient le coup et je tiens bien sur mes jambes, on me bouge difficilement. Mais tout est question de mental. Tu peux ĂȘtre gringalet, si tu veux bouger quelquâun tu peux le bouger. Physiquement, tu te sens comment aujourdâhui ? Je pense ĂȘtre revenu au bon moment. Mais comme je nâai pas eu de prĂ©paration, jâai souffert physiquement, surtout Ă la pĂ©riode du Boxing day. Jâai subi le contrecoup des efforts fournis. CâĂ©tait trop. Quand le coach ndlr, Paul Lambert remplacĂ© depuis fĂ©vrier par Tim Sherwood mâa mis sur le banc face Ă Chelsea, jâĂ©tais fĂąchĂ©. Mais avec le recul, je dois reconnaĂźtre que ça mâa fait du bien. Tu penses recevoir des offres en fin de saison ? Oui. Mais ce nâest pas ce qui mâoccupe pour le moment. Le but, câest de se sauver pour lâinstant. Avec comme cerise sur le gĂąteau, Wembley et les demi-finales de la Cup. Ton avenir, tu le vois haut ? Oui. Mon but Ă©tait de rejoindre lâAngleterre, puis de mettre des buts, de me faire respecter, de me faire un nom. La prochaine Ă©tape, câest cĂŽtoyer le sommet. Je ne suis pas trĂšs loin mais je ne me presse pas. Par Thomas Bricmont, Ă Birmingham
« Quand le pire vient cÎtoyer le meilleur » diffusée le 01/12/2021 à 13h50 sur France 2. Elles ont dû faire face à une épreuve.Et pour eux, le pire est venu cÎtoyer le
alors pour moi le pire, ce sont les nausĂ©es des premiers mois !!! ils ont Ă©tĂ© horribles đĂ cela s'est ajoutĂ© la rĂ©action pas top de mes parents car cette grossesse + prete d'un super boulot + hospitalisation due Ă un dĂ©collement du placenta donc risque de FCmais tout ça je m'en fous !!!!!!!!!!!!!!!!!!!en + mes parents sont aujourd'hui contents đle meilleure momment, c quand j'ai annoncĂ© le ++++++ Ă mon zom, je vous raconte lundi 20 juin au soir, j'ai des pertes marrons alors je dis Ă chĂ©ri que les beurks arriventon est pas vraiment triste car ce n'est que c2mardi j'ai plus rien, mais je ne dis rien Ă zom car j'y crois pasmercredi matin j'en parle sur docti avec des filles que j'ai rencontrĂ© chez les desirettes, et elles me poussent Ă faire un test alors je cours Ă la pharmarĂ©sultat le test donne un +++ mais tardivement donc je tĂ©lĂ©phone au labo pour une pdsla secrĂ©taire me dit que je peux y aller tout de suite et que j'aurai les rĂ©sultats Ă 17 h 00mon dieu que la journĂ©e est longuee đ€Șje vais chercher mes rĂ©sultats et lĂ .... ++++++ đ mais quand je reviens Ă la maison des amis sont lĂ đ comment le dire Ă zom ???je prends mon mal en patience, et je vais discretement sur docti pour imprimer la lettre du locataireune fois les amis partis, zom part sous la douche, alors j'en profite pour scotchĂ© la lettre du locataire Ă la glace de la salle de bain + 1 petit mot disant Ă mon zom de me rejoindre au pont c 1 endroit boisĂ© oĂč coule 1 riviĂšremon zom est arrivĂ© en courrant avec un mĂ©ga sourire aux lĂ©vres, moi je pleurais, et nous avons fait l'amour en pleine nature comme jamais đ
AprĂšsplusieurs mois de galĂšres, Big Ben est redevenu Bentegoal et vient d'inscire 8 buts lors des 6 derniĂšres rencontres de Premier League. Entretien Ă coeur ouvert. Entretien Ă coeur ouvert. NL
Je m'abonne Imprimer Incontournables BDDM ! ElĂ©ment central d'une stratĂ©gie de relation client digne de ce nom, elles sont incontestablement entrĂ©es dans les moeurs des entreprises française. AprĂšs avoir suscitĂ© bien des interrogations, causĂ© bien des soucis et souvent coĂ»tĂ© beaucoup d'argent. Et Internet, encore lui, vient en renforcer l'intĂ©rĂȘt et en multiplier les possibilitĂ©s opĂ©rationnelles. Tant mieux. Pour la connaissance approfondie des clients, pour les Ă©conomies engendrĂ©es dans le recueil d'informations, pour le temps rĂ©el, pour le ciblage et le timing des opĂ©rations, pour la personnalisation des offres... Bref, pour tout ce qu'elles gĂ©nĂšrent dans le cadre d'une dĂ©marche orientĂ©e one-to-one. Mais attention, dans ce domaine, le pire peut rapidement cĂŽtoyer le meilleur. Multiplication des bases sans centralisation, masse de donnĂ©es intraitables et inutiles, clients envahis par un relationnel que l'on ne peut arrĂȘter, coĂ»ts excessifs... Et, comme le dit si bien la maxime, en matiĂšre de BDDM, le mieux est - souvent - l'ennemi du bien. Je m'abonne
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